Pour aller plus loin
Cette étude met en évidence la vulnérabilité de la diversité fonctionnelle (variété des réponses que les espèces d’un écosystème apportent à un changement) des raies et requins et révèle l’importance de ces animaux pour la biodiversité fonctionnelle.
https://www.nature.com/articles/s41467-023-43212-3
Les techniques de chasse des requins blancs pourraient inspirer l’ingénierie aérienne. Cet article présente cet exemple de bio inspiration avec des véhicules aériens sans conducteurs.
https://www.nature.com/articles/s41598-023-50064-w
Cette étude montre des résultats inquiétants, comme la forte présence de plastiques dans le corps des requins démersaux. Une menace en plus pour ces animaux.
https://www.nature.com/articles/s41598-020-68680-1
Les dents de megalodon nous enseignent de nombreuses choses sur les chaînes alimentaires anciennes. Aucun équivalent ne pourrait-être imaginé aujourd’hui.
https://www.nature.com/articles/d41586-022-01701-3
Les attaques de requins sont rares mais souvent problématiques quand elles arrivent. Cependant, cette étude montre que le taux de survie à ces attaques a augmenté grâce aux nouvelles techniques de soins et aux protocoles les plus récents.
https://www.nature.com/articles/s41598-022-16950-5
Certains grands prédateurs comme les requins et les thons sont capables de s’accommoder des tourbillons anticycloniques pour manger des proies des grandes profondeurs.
https://www.nature.com/articles/d41586-022-02259-w
Cette étude montre comment les requins et les raies meurent lors des pêches. Des liens de phylogénie (parenté) forts existent entre les espèces les plus présentes accidentellement dans les filets. Une piste à creuser pour protéger les requins.
https://www.nature.com/articles/s41598-022-21976-w
Un nouveau dispositif pourrait permettre d’éviter la pêche accidentelle de requins, dont la population baisse drastiquement. Il s’agit d’un émetteur électrique permettant de garder les requins à distance pendant les pêches.
Cet article met en évidence l’impact de la pêche artisanale dans les aires marines protégées sur des espèces menacées d’élasmobranches (raies, requin etc.) Il semblerait que les captures soient plus importantes dans celles-ci que dans les zones non protégées.
https://www.nature.com/articles/s41467-022-32035-3
Lors de la dernière extinction de masse, il y a 66 millions d’années, 62 % des espèces de raies et de requins se sont éteintes. Le régime alimentaire et la répartition géographique des différents groupes ont conditionné leur disparition.