Pour aller plus loin

Des parasites passent un stade de leur vie dans les méduses (ex : Rhizostoma pulmo), elles-mêmes mangées par des poissons (l’hôte définitif de ces parasites). La présence des méduses faciliterait la transmission des parasites dans la chaîne trophique.

https://www.nature.com/articles/s41598-023-31693-7

 

Le plancton gélatineux est de plus en plus présent dans l’Océan. Cela est souvent expliquée par la surpêche et le réchauffement climatique. Ici, le mouvement des masses d’eau est montré comme responsable des grosses populations de salpes.

https://www.nature.com/articles/s41598-023-34231-7

 

Les scientifiques cherchent souvent à savoir qui des spongiaires (éponges) ou des cnidaires (coraux, méduses…) sont apparus en premier. Cette étude apporte un nouveau groupe comme étant potentiellement le premier : les cténaires !

https://www.nature.com/articles/s41586-023-05936-6

 

Des scientifiques étudient actuellement le plus vieux fossile de méduse (au sens planctonique du terme) au monde (-500Ma). Cette méduse, Burgessomedusa phasmiformis, aurait été une prédatrice des larves du célèbre Anomalocaris canadensis.

https://www.science.org/content/article/world-s-oldest-jellyfish-might-have-swallowed-prey-whole

 

Toutes les méduses ne sont pas abondantes et invasives. Certaines sont rares et parfois menacées. Les sédiments délogés par l’exploitation minière océanique pourraient perturber le métabolisme de ces méduses et dérégler les réseaux trophiques associés.

https://www.nature.com/articles/d41586-023-03625-y

 

Les méduses sont considérées comme l’un des premiers animaux apparus sur Terre. Cependant, les premières méduses n’avaient probablement pas de stade « méduse » dans leur vie, mais simplement un stade « Polype ».

https://www.pourlascience.fr/sr/chroniques-de-levolution/d-ou-vient-la-meduse-25859.php

 

En Italie, des citoyens ont signalé plus de 27 espèces de méduses en 7 ans, révélant des zones de prolifération inattendues et la progression d’espèces invasives. La science participative permet de mieux suivre ces flambées souvent négligées.

https://www.nature.com/articles/s41598-025-05789-1

 

Ces animaux sont redoutés des vacanciers. Mais leur chair, riche en collagène et vitamines, est aussi un superaliment. Alors la demande, surtout en Asie, explose. Pour la Thaïlande, ce qui était hier un fléau est même devenu un sérieux atout.

https://www.geo.fr/environnement/collagene-vitamines-les-meduses-sont-une-manne-inattendue-en-asie-223624

 

L’anémone Edwardsiella carnea parasite de nombreuses méduses en Méditerranée. Il semblerait qu’elles passent d’abord une partie de leur vie à parasiter le cténaire Mnemiopsis leidyi. Les effets sur les populations de plancton sont encore trop mal connus.

https://www.nature.com/articles/s41598-024-72168-7

 

Les méduses se reproduisent plus à des températures fraîches (plutôt que froides). Le réchauffement climatique intensifie ces périodes « fraîches » printanières aux dépens des périodes « froides » hivernales. Cela peut booster la reproduction des méduses.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0022098119303090