Pour aller plus loin

La Seine est un des écosystèmes que nous mettons en valeur sur notre parcours de visite. C’est un des fleuves européens les plus impactés par les activités humaines. Cette étude présente une étude à long terme de sa faune en poissons et espèces benthiques.

https://www.nature.com/articles/s41597-020-0572-x

 

Dans un monde + chaud de 3.2°C : 36% des espèces de poissons d’eau douce auraient la moitié de leur surface de répartition exposée à des conditions climatiques extrêmes. Un scénario qui semble malheureusement se profiler.

https://www.nature.com/articles/s41467-021-21655-w

 

Les poissons ayant des stades de vie eau douce/salée sont menacées par nos activités (ex : barrages). Comme l’anguille, qui, en plus, est trop pêchée. Une étude sur la repro des anguilles japonaises pour mieux estimer la production de larves et les protéger.

https://www.nature.com/articles/s41598-020-61029-8

 

Parmi les conséquences des vagues de chaleur, il y a celle qui agissent directement sur les organismes marins. Ici il a été mis en évidence que des adaptations sont possible à l’échelle physiologique chez les esturgeons blancs juvéniles afin de mieux résister aux changements.

https://www.nature.com/articles/s41598-023-42652-7

 

Chez l’esturgeon sterlet, une exposition courte à 27 °C favorise croissance, développement squelettique et intestinal. Contrôler la température les deux premiers mois permet d’optimiser la production aquacole.

https://www.nature.com/articles/s41598-025-02566-y

 

L’exposition au polystyrène et microplastiques altère la croissance, la santé et la composition corporelle des poissons (dégradant naturellement leur bien-être). Étude de cas précise avec un Cyprinidé proche des carpes (Catla catla).

https://www.nature.com/articles/s41598-025-85291-w

 

Une étude affirme que les carpes sont plus résistantes avec un ajout dans leur alimentation : une pectine présente dans l’écorce d’orange…

https://doi.org/10.1016/j.fsi.2020.04.019

 

Cette étude montre que la forte présence de déchets plastiques modifie le transport du sable par les lits de rivière, la création des dunes et donc le fonctionnement de certains écosystèmes côtiers.

https://www.nature.com/articles/s43247-023-00820-7

 

Les rivières à fonds sableux seraient des puits de microplastiques. Le sédiment peut retenir 40% de la quantité de microplastiques d’une rivière. En étudiant son débit, il est possible d’estimer la quantité de MP qui sera déversée dans l’Océan.

https://www.nature.com/articles/s41598-024-80892-3

 

Les conditions climatiques, géographiques et météorologiques sont aussi importantes que les activités humaines parmi les facteurs qui entraînent des invasions de poissons d’eau douce.

https://www.nature.com/articles/s41598-022-14556-5